lundi 15 mai 2006

Faire sa trompette...

la trompette... Comme pour les makis... je les produit en kilos. Je t' en prépare une 1/2 livre pour août Lionel ? :)


A quoi sert de fréquenter Platon, quand un saxophone, une trompette peut aussi bien nous faire entrevoir un autre monde ?

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Nouvelle semaine pour notre petite planète - mêmes gestes, mêmes trajets, même reveils difficiles pour Sissi mais ma petite balade matinale dans le musée électronique me rafraichi bien les méninges. Ecoute, ces petites trompettes seraient des amuses gueules parfaits avant un festin sonore. Une demi-douzaine avant un bon petit Chet ... fantastique! Si j'étais un joueur de jazz, ce qui ne manquera pas d'arriver un de ces quatres - j'ai trop le flux du swing, je les mettrai bien volontier sur ma pochette d'album. Tout à fait d'accord sur les possibilités transcendantales (oh! ça fait mal à la tête un mot pareil de bon matin) de la musique. A priori, elle tient une place importante chez toi comme chez moi - c'est simple, peux pas m'en passer. C'est la BO de ma vie; aussi impenssable qu'un film sans musique, une journée sans son est une journée à laquelle il manque pas mal de choses. Contrairement à la peinture ou la littérature qui demandent, à mon sens, un tout petit peu plus de travail au "regardeur" ou au lecteur, la musique est instantanée, plus instinctive ... du moins son accès est nettement plus facile & elle a cet aspect magique qui la rend tellement atractive ... mais ça on pourrait en discuter des heures;
Un demi-kilo, oui oui je prends monsieur.