jeudi 24 juin 2010

Raccrocher les gants...





Petite dédicace à Zoff, Castaneda, Baratelli, Dassaev, Grobbelaar, Pfaff, Bats, Bell, Lama, Higuita, Barthez.




3 commentaires:

Anonyme a dit…

cetai ton cousin je ne peu azvoir de nouvelles c detestable mais googole est un reseau parfois trop puissdant pour un esprit comme le mien comme tous d ailleurs donc je n ai toujours pas de nouivelles et si je ne dois plus en avoir tan pis pour moi toije croi pas mais passe le bonjour azlma cousine cindy ki comme d habitude est rester toujoursb la meme je pense croi en toi et comme d irait akhenaton dans taz vision................;jespere un salu veritable.

Seidrik a dit…

Salut cousin, t'as l'air d'être au taquet !
je reviens de la plage,
cool d'avoir de tes nouvelles.
La bise.

la vie c'est rigolo a dit…

Un cauchemar sûr planche, sur écran, sûr microsillon, sûr cassette,
surclassé par une vague ressemblance Philipienne
c'est une imposture sûr pattes cet homme là..
Pour avoir joué trois quatre mois de suites avec le gus, au théâtre Marigny,
il ne vaut pas un kopeck..
Bon.. Ok..
j'étais dans le rôle du mec en nœud papillon, qui ouvre les portes du théâtre, dessouche les billets et oriente les badauds vers les ouvreuses aux regard d'entraineuse, contrôle aussi les lumières durant l'entracte, genre..
Là, c'est éteint, ça veut dire qu'il faut retourner à votre place.. Et enfin ma spécialité, le "vas y t'as pas de maison ? Parce là, il faut que je ferme le théâtre, je n'ai pas que ça à faire..."
Et c'est là qu'intervient monsieur sublime, monsieur rêve, monsieur incroyable, bref en un mot Francis.
Séance de dédicaces, tous les soirs, pour ma face, une demi heure de plus au bas mot. Tous les soirs cette poignée de mains molle, ce "Salut seidrik" aux accents d'ado alors que je refourguais les derniers programmes avec dessus, sa tête, prête à recevoir l'autographe..
Même ça il le jouait mal !
alors que moi je me débrouillais comme un chef, "Salut Francis,
oui madame ?
C'est dix euros le programme,
Bien évidemment , et comment que Francis, il va venir vous le signer,
A dix euros les quinze secondes de dédicaces j'ai vite relativisé...